A toi qui jouait les gros bras
Tu as trouvé ton maître
En la personne de ton gars
Dans ta tête comme un mal être
Depuis que je te connais, tu claironnes
Bien haut et bien fort
N'avoir peur de personne
Désolé mon pote, tu avais tort
Tu t'en ai pas vanté trop fier
D'avoir pris une bonne branlée
Comme une volée de bois vert
Et tout ça par ton fils aîné
Tu as passé cinq heures à l'hôpital
Tu es descendu de ton piédestal
Pour ne pas passer pour un looser
Au boulot, tu t'es fait porter pâle
Tu nous a racontés des carabistouilles
Tu nous a dit que tu étais en R.T.T
Lors du repas pas un mot sur cette embrouille
Petit cachotier tu nous a pas dit la vérité
Quinze jours sans sortir de ta maison
Mon épouse avait bien vu ton cocard
Elle ne t'a pas demandé des explications
Car ceci ne nous regarde pas ce sont tes histoires
Moi par contre à côté de toi, je n'ai rien vu
C'est ta seconde fille qui a vendu la mèche
Tu as hébergé ton fiston qui était à la rue
Instable, pas mûr, il est dans la dèche
Et en remerciements de lui avoir tendu la main
Et surement pour un mot ou un verre de trop
Six mois chez toi, l'air était devenu malsain
Ca t'apprendra à aboyer comme les petits cabots
Tu as trouvé ton maître
En la personne de ton gars
Dans ta tête comme un mal être
Depuis que je te connais, tu claironnes
Bien haut et bien fort
N'avoir peur de personne
Désolé mon pote, tu avais tort
Tu t'en ai pas vanté trop fier
D'avoir pris une bonne branlée
Comme une volée de bois vert
Et tout ça par ton fils aîné
Tu as passé cinq heures à l'hôpital
Tu es descendu de ton piédestal
Pour ne pas passer pour un looser
Au boulot, tu t'es fait porter pâle
Tu nous a racontés des carabistouilles
Tu nous a dit que tu étais en R.T.T
Lors du repas pas un mot sur cette embrouille
Petit cachotier tu nous a pas dit la vérité
Quinze jours sans sortir de ta maison
Mon épouse avait bien vu ton cocard
Elle ne t'a pas demandé des explications
Car ceci ne nous regarde pas ce sont tes histoires
Moi par contre à côté de toi, je n'ai rien vu
C'est ta seconde fille qui a vendu la mèche
Tu as hébergé ton fiston qui était à la rue
Instable, pas mûr, il est dans la dèche
Et en remerciements de lui avoir tendu la main
Et surement pour un mot ou un verre de trop
Six mois chez toi, l'air était devenu malsain
Ca t'apprendra à aboyer comme les petits cabots